De 1800 à 1910, de nombreux petits ateliers – appelés chez nous des « boutikes » – ont donné du travail à des dizaines d’ouvriers. Au début, ils travaillaient » de couple » : un planeur, qui ébauchait le sabot et un creuseur, qui le ….creusait et le terminait.
Dans la 1ère moitié du XXe s, deux saboteries mécaniques voient le jour : la saboterie St-Joseph, à Lausprelle et la saboterie socialiste. ‘Atelier du Musée reconstitué à l’Eco-vitrine)